Si la transition écologique tue, c’est que l’urgence climatique et sociale ne permet plus d’attendre. La pollution atmosphérique cause plus de 7 millions de morts dans le monde chaque année, en majorité des enfants. En 2017, 26 personnes possédaient autant de richesses que 3,8 milliards d’individus. Face à cette menace civilisationnelle, la politique des petits pas échoue à basculer nos modes de production dans un modèle de durabilité sociale et environnementale.
Refusant l’alternative stérile entre catastrophisme et attentisme, Nicolas Hazard appelle à la mobilisation générale, « la guérilla mondiale » ! C’est seulement en s’engageant à rejoindre le mouvement global des « guérilleros », ces femmes et hommes qui jour après jour réinventent radicalement nos modes de vie au service d’un monde durable et inclusif, qu’il est possible de faire enfin la différence.
Seul leur nombre permettra d’inverser le rapport de force qui oppose depuis trop de temps les faibles aux forts.